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People and organizations
Faucher, Rolande
Person · 27 avril 1941-

Rolande, Faucher. Auteure, consultante en recherche et en analyse. Ottawa, 27 avril 1941- . Fille d'Albert Faucher et d'Irène Beaudry; mariée à Pierre Soucie, 1962; mère de trois enfants, Luc, Chantale et Alain. Éducation secondaire, couvent Notre-Dame du Sacré-Cœur des Sœurs grises de la Croix; Collège Bruyère. Université d'Ottawa, École normale, certificat d'enseignement, 1961; Maîtrise ès Arts en sociologie, 1980. Enseignante : École élémentaire Garneau, 1961-1965; couvent Rideau, 1963-1964; Association des enseignantes et enseignants franco-ontariens, recherchiste, 1980, 1982; Conseil de planification sociale d'Ottawa-Carleton, recherchiste, 1980-1985; Service de recherche de la Bibliothèque du Parlement, attachée de recherche, 1985-1988, 1990-1991; Association canadienne-française de l'Ontario, présidente générale, 1988-1990; Conseil de l'Éducation et de la Formation franco-ontarienne, présidente, 1993-1996; Comité conjoint prévu à l'Entente Canada-communauté ontarienne, consultante de recherche, Ottawa, 1997-1999; Réseau des services de santé en français de l'Est de l'Ontario, recherchiste, 1999-2000; Fédération des communautés francophones et acadiennes du Canada, recherchiste, 2000-2001; États généraux sur la petite enfance, Toronto, animatrice, 2000; consultante en recherche dans divers secteurs, 1999-2005. Présidente fondatrice : Studio des jeunes d'Orléans, 1980-1983. Présidente : Comité du Centre culturel d'Orléans, 1980-1985; Mouvement d'implication francophone d'Orléans, 1986-1987. Membre du Conseil d'administration de l'Hôpital Montfort, 1986-1991, 1996-2000. Membre du Conseil d'administration et présidente : Centre de théâtre francophone d'Ottawa, La Nouvelle Scène, 1996-2002. Membre de plusieurs comités, dont Bureau de direction de la Fédération des communautés francophones et acadiennes du Canada, Comité de stratégie de SOS Montfort, Bureau de direction du CRCCF, Comité directeur du Fonds Jean-Robert Gauthier et Comité consultatif sur les affaires francophones. Prix de reconnaissance des bénévoles Ville de Gloucester, 1988; Certificat de mérite Albert Régimbald, Assemblée des centres culturels de l'Ontario, 1989; Distinction pour services bénévoles, Province de l'Ontario, Ministère des Affaires civiques et Ministère de la Culture et des Communication, 1989; Prix Séraphin-Marion, Société Saint-Jean-Baptiste de Montréal, 1990; Ordre du mérite, Association des juristes d'expression française de l'Ontario, 1993; Ordre des francophones d'Amérique, Conseil de la langue française du Québec, 1994; Prix d'excellence, Réseau socio action des femmes francophones d'Ottawa, 2001 et Chevalier de l'Ordre de la Pléiade, Assemblée parlementaire de la Francophonie, 2004. Publications : Jean-Robert Gauthier, Convaincre…sans révolution et sans haine, 2008. Collabore à plusieurs rapports, entre autres, « Le bilinguisme officiel au Canada. La deuxième décennie, 1986, Multiculturalisme, son impact sur les groupes minoritaires de langue française du Canada, 1990 » et « Rapport d'évaluation, Négociation de l'Entente Canada Communauté-Ontario 1999-2004 ».

Plourde, Briand
Person · 1943-

Briand Plourde a vécu plusieurs années à Kabina, un village forestier situé à environ 32 kilomètres à l’ouest de Hearst. Enfant, il a fréquenté l’école à Kabina et il a été témoin de l’évolution du village forestier. Son père travaillait alors à la scierie J.D. Levesque Lumber. Tout juste avant la fermeture de la scierie, la famille quitte le village de Kabina pour s’établir à Hearst.

Henrie, Maurice
Person · 12 décembre 1936 –

Henrie, Maurice. Auteur et haut-fonctionnaire. Rockland Est (Ontario), 12 décembre 1936 – . Université d’Ottawa, études classiques (Petit séminaire d’Ottawa), B.A., 1958, M.A. (arts et lettres; thèse « La nature chez Albert Camus »), 1962, Ph. D. (lettres et philosophie; thèse « L’acte gratuit chez André Gide »), 1969. Université de Toronto, diplôme en pédagogie, 1959. Enseignant du théâtre et des langues, écoles secondaires, Université de Toronto, 1959-1961; Université d’Ottawa et Université Carleton, professeur à temps partiel, 1955-1964. Gouvernement du Canada : professeur de langues (École de la fonction publique); dans divers ministères, conseiller en bilinguisme (Affaires étrangères), 1968 –1970; adjoint au bureau du sous-ministre (Secrétariat d'État), 1969 – 1972; chef de service, Direction des études spéciales (Bureau du Commissaire aux langues officielles), 1972 – 1975; chef de la Division des relations fédérales-provinciales et de la Division des affaires intergouvernementales (Environnement Canada), 1975 – 1976; directeur, Division des ressources et des finances (Bureau des relations fédérales-provinciales), 1976 – 1980; directeur adjoint, Développement des ressources et des régions (Développement économique et régional), 1980 – 1981; conseiller supérieur en politiques (Secrétariat du Conseil du Trésor), 1981 – 1988; conseiller supérieur au bureau du sous-ministre (Bibliothèque nationale), 1988 – 1991. Publications : La Chambre à mourir, nouvelles, Québec, L'instant même, 1988 (Prix de la municipalité d’Ottawa-Carleton et finaliste pour le Prix Trillium); La Vie secrète des grands bureaucrates, humour satirique sur la haute bureaucratie, Hull, Asticou, 1989; The Mandarin Syndrome (traduction anglaise du livre précédent), Presses de l'Université d'Ottawa, 1990 (finaliste pour le prix Stephen Leacock); Le Petit Monde des grands bureaucrates, humour sur la haute bureaucratie canadienne, Boucherville, Éditions de Mortagne, 1992; Le Pont sur le temps, nouvelles, Sudbury, Prise de Parole, 1992 (Prix de la municipalité d’Ottawa-Carleton); Le Balcon dans le ciel, roman, Sudbury, Prise de parole, 1995 (Grand Prix du Salon du livre de Toronto, Prix Trillium et Prix de la municipalité d’Ottawa-Carleton); La Savoyane, nouvelles, Sudbury, Prise de parole, 1996; Fleurs d'hiver, essais et nouvelles, Sudbury, Prise de parole, 1998; Une ville lointaine, roman, Québec, L'instant même, 2001 (Prix des lecteurs Radio-Canada 2002 et finaliste pour le Prix du livre d'Ottawa, 2003); Mémoire vive, nouvelles, Québec, L'instant même, 2003 (Prix du livre d'Ottawa, création, 2004 et Prix littéraire Le Droit, 2005); Les roses et le verglas, nouvelles, Sudbury, Prise de parole, 2004 (Prix du livre d'Ottawa, création, 2005, finaliste pour le Prix Trillium et finaliste pour le Prix des lecteurs Radio-Canada 2005); Le Chuchotement des étoiles, roman, Sudbury, Prise de parole, 2007 (finaliste pour le Grand Prix du Salon du livre de Toronto, le Prix littéraire Le Droit et le Prix du livre d'Ottawa); Esprit de sel, carnets littéraires, Sudbury, Prise de parole, 2008 (Prix du livre d'Ottawa, non-fiction, 2009 et finaliste pour le Prix Émile-Ollivier, 2009); Le jour qui tombe, nouvelles, Ottawa, L'Interligne, 2009; L’enfanCement, Sudbury, Prise de parole, 2011; Petites pierres blanches, fiction, Éditions David, 2012 (Prix littéraire Le Droit 2013). Sources : curriculum vitae de Maurice Henrie; [sites Web consultés octobre 2013] L’Express, semaine 12 décembre au 18 décembre 2006,http://www.lexpress.to/archives/1030/, http://felix.cyberscol.qc.ca/LQ/auteurH/henri_m/henrie.html, http://www.instantmeme.com/ebi-addins/im/ViewAuthor.aspx?id=368.

Corporate body · 1906-1974

La Hydro-Electric Power Commission of Ontario (HEPCO) était une société spéciale constituée en vertu d’une loi, soit la loi adoptée en 1906 intitulée Act to Provide for the Transmission of Electrical Power to Municipalities. Avant sa création, le développement de l’énergie hydroélectrique résultait d’une série de démarches isolées, alors que des centrales privées ou publiques alimentaient des villes ou des entreprises, sans toutefois former un réseau commun. Ces centrales fonctionnaient souvent comme des monopoles qui offraient un mauvais service à des prix élevés. En réponse à ces pratiques, le gouvernement provincial de l’Ontario a, en 1905, reconnu que l’électricité devrait être considérée comme un bien public plutôt qu’une marchandise. Le rôle de la HEPCO était donc d’assurer l’approvisionnement en électricité des habitants des municipalités de l’Ontario, et plus tard des résidents des communautés rurales, et ce, au meilleur prix possible. Au cours de son histoire, la HEPCO a branché des municipalités de l’Ontario à son réseau de distribution grâce à la modernisation de ses lignes de distribution locales et à la prolongation de ses lignes de transmission. Pour approvisionner ses clients, la HEPCO achetait de l’électricité d’entreprises privées et elle a acquis ou construit ses propres centrales. En 1939, la Power Control Act a donné à la HEPCO le pouvoir de réglementer les autres producteurs d’électricité. Le réseau s’est étendu au-delà des frontières de l’Ontario lorsque la HEPCO a commencé à acheter de l’électricité auprès d’entreprises de services publics appartenant à des Américains et de producteurs privés d’électricité au Québec. Dans les années 1950, la HEPCO a accru son autosuffisance grâce au développement de ses capacités de production d’électricité à partir de centrales thermiques et nucléaires. À cette époque, la HEPCO devient même un exportateur net d’électricité. La HEPCO a été officiellement renommée Ontario Hydro en 1974, et les six personnes qui la dirigeaient alors ont été remplacées par un conseil d’administration composé d’un président du conseil, d’un vice-président du conseil, d’un président et de plusieurs administrateurs. Ontario Hydro a continué à exploiter le réseau de production et de distribution d’électricité jusqu’au moment de la déréglementation du marché de l’électricité au Canada en 1999, ce qui a entraîné la scission de la société en deux entités : l’Ontario Power Generation (OPG), qui produit l’électricité, et Hydro One, qui distribue l’électricité sur le marché libre. En définitive, la déréglementation a mis fin au modèle de production et de distribution d’électricité établi par la création de la HEPCO en 1906.

Lehmann, Fritz, 1936-1994
Person · 1936-1994

Fritz Lehmann est né en 1936 à Oak Park, en Illinois. Il a obtenu son baccalauréat au Oberlin College en 1958 et a fait une maîtrise à l’Université du Wisconsin (1961 et 1967, respectivement). Son domaine de compétence était l’histoire de l’Inde et de la région de l’Asie du sud, s’intéressant particulièrement au rôle de l’Islam dans ces régions ainsi qu’à son incidence sur la technologie, la culture et le développement, et à la langue urdu et sa littérature.

Il a intégré le département d’histoire de l’Université de la Colombie-Britannique en 1967, où il a fait partie de la faculté jusqu’à son décès, en 1994.

Tout au long de sa vie, Lehmann s’est passionné pour les chemins de fers, et surtout pour les locomotives à vapeur. Partout où il allait, il cherchait, photographiait et étudiait les voies ferrées. À la fin des années 1970, il a compris que l’industrie canadienne de la fabrication de locomotives était bien mal connue. Il a donc décidé d’écrire un livre sur le sujet et de rédiger des articles sur les différents fabricants. Il a également accumulé du matériel sur le réseau ferroviaire canadien provenant de la scène mondiale. Il a travaillé assidûment sur ce projet pendant ses temps libres. Toutefois, un accident vasculaire cérébral, en 1988, a ralenti ses travaux, et il n’a jamais pu finir la rédaction de son ouvrage.

Person · 1923-12-19 - 1995

Douglas Freeman Parkhill est né le 19 décembre 1923. Il a obtenu son baccalauréat en génie électrique à l’Université de Toronto en 1949. De 1949 à 1951, il a travaillé pour la société Canadian Comstock, sur le projet de conversion de fréquence de 25 à 60 cycles, dans le sud de l’Ontario. Ensuite, il a travaillé en tant qu’ingénieur de systèmes à Computing Devices of Canada Ltd, à Ottawa. Il a brièvement œuvré à AVCO of Canada Limited, à Toronto, en tant que superviseur des services d’ingénierie, avant d’être nommé directeur adjoint des systèmes informatiques et électroniques à AVCO, cette fois à Wilmington, au Massachusetts. En 1958, Parkhill est devenu ingénieur en chef aux services de développement avancé à la société General Dynamics à Rochester, New York. Son poste suivant a été à la société MITRE à Bedford, au Massachusetts, de 1961 à 1969, où il est devenu directeur des systèmes de communication par satellite.

En septembre 1969, Parkhill entre en fonction au ministère des Communications à Ottawa, à titre de directeur général des services des politiques, de la planification et des programmes. Il a été nommé sous-ministre adjoint (planification) en 1970; en cette qualité, il était responsable de la politique téléinformatique canadienne. Il était également membre du comité des politiques de l’informatique et des communications de l’OCDE qui offrait ses conseils aux gouvernements sur les changements entraînés par l’informatisation. Son dernier poste au ministère a été celui de sous-ministre adjoint (recherche), à partir de 1974; il était responsable des communications par satellite, des communications informatiques, du développement de réseaux de fibres optiques et de la transmission d’images, pour ne nommer que ces dossiers. Parkhill a été une des forces motrices dans le développement du Télidon, un système de vidéotex et télétext de conception canadienne, en partenariat public-privé. Parkhill a d’ailleurs reçu le Prix pour services insignes du gouvernement du Canada, en 1982, pour son travail dans ce domaine.

De 1956 à 1984, Parkhill a écrit de nombreux articles et donné plusieurs conférences sur l’évolution de la place qu’occupent les ordinateurs, les réseaux informatiques et les technologies de communication, sur les défis à relever ainsi que sur le rôle du gouvernement fédéral dans ces domaines. Il a également rédigé une cinquantaine de rapports classifiés sur les systèmes informatiques militaires, les systèmes spatiaux militaires, les systèmes de contrôle par satellite et autres sujets. Parkhill est notamment l’auteur de The Challenge of Computer Utility (1966), et de Gutenberg Two: The New Electronics and Social Change (1979), en collaboration avec Dave Godfrey.

Suivant sa retraite de la fonction publique, en avril 1984, il a été mandaté par la sous-ministre (communications) pour rédiger l’historique de l’industrie du vidéotex et du télétext en Europe, en Asie, aux États-Unis et au Canada. Son manuscrit sur le développement du Télidon intitulé The Beginning of a Beginning est paru en 1987.

Bussières, Alain
Person · 1952-2017

Alain Bussières est né à Charny, Québec le 28 avril 1952. Sa famille s’installe à Cochrane Ontario, en 1959. Après y avoir complété ses études primaires, il poursuit ses études secondaires au Collège de Hearst, où il est pensionnaire jusqu’en 12e année. Il s’inscrit ensuite à l’Université d’Ottawa et obtient un baccalauréat ès arts en géographie et un baccalauréat en éducation. Après avoir enseigné quelques années à Iroquois Falls, il poursuit sa carrière à Embrun. Il épouse Hélène Thiffault en 1975. De cette union naissent quatre enfants : Martin, Guylaine, Marc-André, et Marie-Josée. Collectionneur dans l’âme et passionné par l’histoire des trains et des chemins de fer, Alain Bussières possédait de nombreux documents archivistiques reliés à l’histoire ferroviaire et à la géographie du nord de l’Ontario. Alain Bussières est décédé le 26 avril 2017.

Corporate body · 1961-1971

Fondé par les prêtres et laïques du Centre diocésain de Hearst, en 1961, le bulletin Bonjour se donne comme objectif de contribuer à développer le sens de la fraternité, à diffuser le message de l’Évangile, à créer des zones de paix dans le peuple de Dieu et à unir davantage tous les catholiques du diocèse. Le dernier numéro date de novembre-décembre 1971.

Corporate body · 1969-

En 1998, l’École Secondaire catholique de Hearst publie le premier numéro d’un journal intitulé L’Écho des Jeunes. Le journal se veut un reflet de ce que vivent les jeunes à l’école et dans la communauté. Les élèves doivent, dans le cadre d’un cours, rédiger trois numéros du journal par semestre et travailler à la production de l’annuaire étudiant. L’Écho des Jeunes leur permet de s’exprimer, de partager leurs idées et de découvrir certains aspects du travail journalistique. La collection comprend également une brochure décrivant les cours du soir offerts à l’École Secondaire de Hearst en 1969-1970.

Bergevin, Armand
Person · 1913-2012

Armand Bergevin est né le 1 juillet 1913 à SainteMartine, Qc. Il était le fils de Joseph Bergevin, un pionnier venu, en 1922, s’établir sur une terre dans le canton de Glackmeyer, près de Cochrane. En 1952, Armand achète la terre familiale et devient à son tour agriculteur, tout en occupant divers emplois. Armand Bergevin est décédé à Cochrane, en 2012, à l’âge de 99 ans.

Clef en Main
Corporate body · 1984-2007

Au moment de sa fondation, en 1984, l’organisme Clef en Main se donne comme objectif de promouvoir l’indépendance économique des femmes de Hearst et de la région. Une crise du logement sévit alors à Hearst, plaçant souvent les femmes les plus vulnérables dans des situations précaires. Afin de bâtir le capital requis pour éventuellement financer du logement pour les femmes à faible revenu, Clef en Main organise la Loterie 150 des Femmes. La situation du logement s’étant graduellement améliorée, l’organisme décide d’utiliser les revenus des loteries pour accorder des bourses aux femmes qui poursuivent des études dans des secteurs d’activités économiques traditionnellement dominés par la main-d’œuvre masculine. En 2007, l’organisme cesse ses activités et remet ses avoirs aux Fonds de bourses des institutions d’enseignement de Hearst.

Person · 1890-07-30 - 1950-11-21

Le commandant Charles Taschereau Beard est né à Ottawa le 30 juillet 1890. Il a commencé sa carrière dans la Marine royale sur le navire marchand d’entraînement Conway. De retour au Canada, il a d’abord travaillé aux services de protection des pêches, puis à la Réserve marine royale (1909), avant de joindre les rangs de la Marine royale canadienne, en 1910, en tant qu’aspirant de marine. Pendant la Première Guerre mondiale, il a servi dans la région de Pas-de-Calais. En 1921, il a travaillé avec Alexander Graham Bell à Baddeck, lorsque Bell faisait des tests sur des hydroptères. En 1922, il a été nommé officier supérieur de la Marine, à Esquimalt, et a agi en tant que capitaine de Naden. Il a ensuite occupé divers postes au quartier général, y compris directeur de la Réserve navale et directeur des opérations navales (CFB Esquimalt Navy and Military Museum). Lorsque son mandat de directeur de la Réserve navale a pris fin, le ministre de l’Intérieur a invité la Marine royale canadienne à nommer un officier pour une expédition d’exploration dans l’Arctique de l’Est. Charles Taschereau Beard a ainsi été affecté à cette expédition à bord du navire Nascopie, de la Compagnie de la Baie d’Hudson, en juillet 1935. Avant son départ, un officier supérieur d’aviation lui a demandé de rédiger un rapport sur la région, et l’Aviation royale canadienne lui a prêté un appareil photo et dix rouleaux de pellicule. On lui a également fourni une liste des sites à évaluer pour l’entreposage de carburant. Son rapport et ses négatifs ont été remis à l’Aviation royale après son périple. En 1936, il était de retour à Naden, cette fois à titre de commandant puis de commandant des chantiers navals. Beard a pris sa retraite de la Marine royale canadienne, mais a été rappelé au service, lors de la Seconde Guerre mondiale, en tant que commandant du NSM Prince Rupert. Il a dû retourner à la retraite pour des raisons de santé, mais est devenu député de l’Assemblée législative de la Colombie-Britannique pour Esquimalt, après la guerre, de 1945 à 1948. Charles Taschereau Beard est décédé le 21 novembre 1950.

Person · 1920-04-15 - 2009-01-26

Gordon Francis Hoffos est né près d’Assiniboia, en Saskatchewan, le 15 avril 1920. Ses parents, Otto Hoffos et Anna Olive Sivertson, étaient fermiers, et ont élevé dix enfants. Gordon Hoffos a terminé ses études secondaires en 1938, et a ensuite joué au hockey, dans la ligue junior, pour les Canucks de Moosejaw. Il a également travaillé en tant que projectionniste et batteur, jusqu’à ce qu’il s’engage dans la Réserve spéciale de l’Aviation royale canadienne (ARC), à titre d’aviateur, 2e classe, en 1942. M. Hoffos a fréquenté l’École préparatoire d’aviation no 7, à Saskatoon, puis l’École élémentaire de pilotage no 6 à Prince Albert, en Saskatchewan, où il a appris à piloter à bord d’appareils Tiger Moths de de Havilland. Il est ensuite allé à l’École de pilotage militaire no 10 à Dauphin, au Manitoba, où il s’est entraîné sur des Crane de Cessna. Il a terminé son entraînement en décembre 1942, et a amorcé une formation pour devenir instructeur en avril 1943. Il a ensuite été instructeur à l’École de pilotage militaire no 12 à Brandon, au Manitoba, jusqu’en novembre 1944, lorsqu’il a été transféré à l’aéronavale britannique (Fleet Air Arm de la Marine royale britannique). Il a rejoint l’Escadron no 803 et s’est entraîné à bord d’appareils Mark 3 Spitfire en Angleterre, en Irlande et en Écosse, avant d’être libéré, en 1945. De retour à Saskatoon, il a commencé des études universitaires en médecine, avant de plutôt décider de travailler comme pilote de brousse pour la compagnie d’un dénommé Tom Lamb, le frère de sa future épouse, à Le Pas, au Manitoba. Il a épousé Carol Lamb, une infirmière, en 1947. Gordon Hoffos s’est réengagé dans l’ARC en 1951 en tant que lieutenant d’aviation, travaillant d’abord comme instructeur de vol à l’École des officiers no 1 à London, en Ontario. En 1953, il a été affecté en tant qu’instructeur à l’Unité d’entraînement opérationnel no 3 à North Bay, en Ontario, puis a été promu au rang de capitaine d’aviation. En 1955, il a été affecté à l’Unité d’entraînement opérationnel à Cold Lake, en Alberta. L’année suivante, il a été nommé officier des opérations à l’unité d’essai des armes. En 1957, il a été transféré à l’état-major interarmes de l’Armée canadienne en tant qu’agent de liaison au sein du 4750e Escadron de la United States Air Force, à Yuma, en Arizona. Il a travaillé au Commandement des forces aériennes en tant qu’officier d’état-major, opérations de frappe, à partir de juillet 1959. C’est à cette époque qu’il a effectué des vols d’exercice, à la base Uplands de l’ARC, à bord d’aéronefs Lockheed T-33 et Avro CF-100. En mai 1963, il a été nommé commandant d’aviation par intérim, puis commandant d’aviation proprement dit, devenant responsable du réseau d’alerte avancé, secteur DYE, de l’Islande jusqu’à Foxe Basin, au Nunavut. Il est retourné à Ottawa en 1964, ayant été affecté au commandement des forces aériennes en tant qu’officier d’état-major, à la défense nucléaire, où il était responsable d’inspecter des installations d’armes nucléaires pour l’OTAN. Il a été libéré avec honneurs en septembre 1967. Lorsqu’il était à Ottawa, il avait pris des cours du soir à l’Université Carleton, où il a obtenu un baccalauréat ès arts en 1968. Après sa retraite de l’ARC, il a travaillé pendant 10 ans à Postes Canada. Pour son service dans l’ARC, Gordon Francis Hoffos a reçu la Médaille canadienne du volontaire, la Médaille de la guerre de 1939-1945 et la Décoration des Forces canadiennes. L’aviateur est décédé le 26 janvier 2009.

La Pitoune
Corporate body · 191-1973

Fondée par un groupe de jeunes animées par le désir de promouvoir l’épanouissement artistique sous toutes ses formes, La Pitoune s’inscrit dans l’effervescence culturelle que connait l’Ontario français au début des années 1970. Installé dans les locaux de l’Université de Hearst (troisième étage), ce centre socioculturel francophone a été très actif dans la région de Hearst au cours des années 1970. Engagée dans de nombreuses sphères d’activités artistiques, culturelles et sociales, La Pitoune offrait, entre autres, des ateliers en arts plastiques, en céramique, en danse folklorique et sociale, en expression corporelle, en musique, en peinture, en photographie, en sculpture et en théâtre. Elle organisait également des foires d’arts, des camps artistiques, des spectacles (dont celui de Renée Claude à l’occasion du carnaval de Hearst, en 1972), des expositions, des spectacles de marionnettes et des camps d’été intitulés Potion Magique.

Corporate body · 2012-

Cette collection regroupe des séries brèves et variées contenant des documents textuels, audio, audiovisuels ou photographiques. Ces documents traitent de divers aspects de l’histoire de la Grande Zone argileuse. Certains ont été conservés par le Centre d’archives, d’autres proviennent parfois de donateurs ou de donatrices ne souhaitant pas qu’un fonds ou qu’une collection soit établi en leur nom.

Corporate body · 1932-

L’Institut de la Conférence des associations de la défense est un organisme de recherche non partisan et officiellement caritatif dont le mandat est d’offrir un soutien en matière de recherche à la Conférence des associations de la défense (CAD) et de favoriser un débat public éclairé sur les questions de sécurité et de défense nationales. L’Institut de la CAD s’acquitte de son mandat en publiant de nombreux articles stratégiques bien documentés, des blogues, les Cahiers Vimy et son magazine ON TRACK. Il se fait également le champion de nombreuses activités qu’il organise, notamment : le prix Vimy, qui vise à reconnaître la contribution exceptionnelle d’un Canadien ou d’une Canadienne à la sécurité et à la défense du Canada; le prix des médias Ross Munro, décerné à un(e) journaliste canadien(ne) ayant contribué de façon exceptionnelle à faire comprendre au grand public les questions de sécurité et de défense canadiennes; et la Conférence sur la défense et la sécurité, débat canadien très renommé sur les questions de sécurité et de défense qui se tient chaque année à Ottawa.

Grzela, Leo
Person · 1949-

Leo Grzela a œuvré dans l’enseignement durant de nombreuses années. Pendant 30 ans, il a notamment enseigné l’histoire et la géographie et a été orienteur à l’École secondaire catholique de Hearst. Au cours de cette période, il était également très actif auprès de l’Association de hockey mineur de Hearst y ayant été entraîneur, soigneur ou gérant dans les catégories Beginner, Novice, Atome, Peewee et Bantam. Il s’occupait aussi des équipes de hockey de l’École secondaire catholique de Hearst tant chez les garçons que chez les filles. Son nom figure également, avec quelques collègues et des étudiantes, parmi les instigateurs et organisateurs du 1er tournoi de hockey Franco-filles, qui a eu lieu à Hearst, en 1998.

Rotaract Club of Kapuskasing
Person · 2006-2009

Parrainé par le club Rotary de Kapuskasing, le Club Rotaract de Kapuskasing avait pour objectif d’aider les jeunes adultes de 18 à 30 ans à s’impliquer au sein de leur communauté, à se mobiliser aux causes humanitaires et à développer des compétences professionnelles et de leadership. Créé en 2006 grâce à l’initiative de Chantal Dussault et le président du club Rotary de Kapuskasing, Glen Agar, le club Rotaract de Kapuskasing a organisé plusieurs activités communautaires et professionnelles, notamment la création d’un club littéraire, l’organisation de présentations professionnelles avec invitées et invités d’honneur et un défilé de chien afin de prélever des fonds pour le groupe ARK (Animal Rescue of Kapuskasing). Le club s’est effrité en 2010 avec le départ de plusieurs membres fondateurs. Melissa Vernier, professeure d’histoire à l’Université de Hearst, a siégé au comité exécutif à titre de secrétaire de 2006 à 2009.

Corporate body · 1946-1955

Pour plus d'information sur la division aéronautique (Aircraft Division) de la société A.V. Roe Canada Limited, veuillez voir la notice d'autorité pour la société Hawker Siddeley Canada Limited.